Les images se construisent autour de détails, de courbes, de zones de lumière et d’ombre. Elles suggèrent plus qu’elles ne montrent, laissant au regard le soin de compléter ce qui échappe. Le nu devient alors un espace de respiration, un territoire qui existe par sa simplicité, sa fragilité et son évidence.
Une série qui cherche à capter l’intime sans le forcer : voir le corps tel qu’il se présente, avec ses éclats, ses absences, et cette tension discrète entre proximité et distance.